Les temps sont trompeurs.
Il fait beau, frais, il pleut, il vente… dans la mĂȘme journĂ©e, comme une impression de normalitĂ©, de « normandisme ».
Et pourtant, la terre brûle. Nous la consumons chaque jour, petit à petit, ou dans de petits brasiers ou de grands incendies.
Mais pourquoi ? Dans lâintĂ©rĂȘt de qui ? Surement pas le notre, ni le votre đą